Élodie Parcours D’Une Ado En Chaleur - Partie 14

Élodie s'écroule sur son lit, terrassée par le soulagement de pouvoir enfin libérer sa jouissance. Son corps est encore balayé de spasmes de plaisirs, lorsqu'elle remercie ses spectateurs anonymes, les yeux pétillants de plaisir. Elle s'engouffre dans sa couette, à la recherche d'un contact chaleureux, et elle s'effondre de sommeil, le ventre vide de plaisir, non sans réaliser qu'heureusement elle était seule dans l'appartement pour pouvoir lâcher ses cris de jouissance.

Lorsqu'elle se réveille le lendemain, elle se précipite sur sa fenêtre pour aérer sa chambre qui pue le sexe et les relents de cyprine dont elle a inondé sa couette la veille. Avant que ses parents ne se lèvent, elle se précipite à poil dans l'appartement pour mettre draps et vêtements puant le sexe dans la machine à laver. Elle prend ensuite une bonne douche réparatrice avant de s'en retourner dans sa chambre pour y passer la journée cloîtrée, nue, et punie.

Rancunière, la gamine ne répond même pas à sa mère lorsque cette dernière lui demande si elle veut venir petit déjeuner :

-Bon Serge, voit ce que tu peux faire, elle me tape sur les cette petite conne ! J'en peux plus!

L'adolescente entend ensuite le claquement de la porte, signe que sa mère est partie travailler. Élodie se planque sous sa couette et laisse entrer son beau-père lorsqu'il toque à la porte de la chambre aux fenêtre ouvertes. Il s'assoit sur le lit et un tantinet désespéré, il essaye de jouer les médiateur entre la fille et sa mère :

-Ecoute Elo, essaye de faire un effort et lève-toi pour nous filer un coup de main. Peut-être qu'elle lèvera ta punition ?

-Même pas en rêve, elle veut me punir ? OK mais alors je sors même pas de ma chambre quand elle est là !

Pensant égayer la situation, il commence à tirer sur le bord de la couette pour la contraindre à se lever :

-Aller p'ti cul, bouge tes fesses et vient manger au moins ?

-Nan mais putain, lâche moiiiii .

...

La gamine tente de retenir la couette, mais le quadra est bien plus fort et tire franchement sur le tissu, dévoilant la nudité de l'adolescente qui se recroqueville sur elle-même pour cacher son intimité à son beau-père.

-Mais euuuuh, putaiiin, lâche moi pervers !

Surpris par la situation, Serge lâche la couette, Élodie se planque à nouveau sous le duvet et l'observe du coin de l’œil ; le quadra reste immobile, interdit, la bouche grande ouverte. Il reprend ses esprits, puis se recule, gêné, se grattant le cadre et bégayant des excuses :

-Je .... Euh .... Je .... OK .... Euuuh .... J'te laisse un p'ti déj' sur la table et tu te démerdes, OK ?

Il déserte les lieux et Élodie entend à nouveau claquer la porte ; "Enfin ! Putain, j'ai cru qu'ils ne partiraient jamais !" Dans un coin de son esprit, la gamine se félicite d'avoir mis son beau-père mal à l’aise : "Y s'prend pour qui lui à m'dire s'que j'dois faire ?" Elle s'occupe ensuite toute la matinée, envoyant quelques textos et autres messages sur snap à ses potes, mais aucune réponse en retour. La gamine ne comprend pas trop ce qui se passe, et toute punie qu'elle est, elle ne veut pas laisser sa mère gagner en lui désobéissant.

A l'heure du repas, elle se retire dans sa chambre et laisse le reste de l'appartement à ses parents qui rentrent manger :

-Toujours pas décidée à sortir ? .... Silence ; Très bien fait comme tu veux ! T'es pas prête à profiter de tes vacances ma cocotte.

Élodie entend sa mère s'éloigner, puis elle entend les adultes argumenter dans le salon, mais elle ne comprend pas ce qu'ils se disent. Elle sait juste que la discussion à l'air houleuse. L'après-midi est toute aussi calme que la matinée, aucun signe de ses potes, ni de ce gros porc de Romu, et encore moins de son maître chanteur ; "Est-ce qu'ils se sont tous lassés de moi ?" La gamine ne comprend pas trop ce qu'il se passe, après quatre jours de baise intense et de situations inédites, le silence de tous ses mâles laisse un vide étrange dans son ventre.


Après quelques heures, l'adolescente se fait chier et ouvre son laptop sur le bureau, puis elle se mate quelques vidéos pornos en se branlant avec ses divers jouets. Même si elle trouve du plaisir dans ses caresses et avec ses nouveaux jouets, la jouissance ne vient pas, il lui manque définitivement quelque chose. Le soir même, la gamine attend que ses parents se retirent dans leur chambre et une demi-heure plus tard, elle prend son courage à deux mains pour se rendre nue dans le salon, légèrement illuminé par les lumières des voisins.

Sans nouvelles de tous ses hommes, la petite se sent délaissée et souhaite pimenter sa soirée en s'exposant à son voisin mateur. La gamine sort de sa chambre entièrement nue, son gros gode ventouse en main et un plaid à la main, elle s'installe au pied du canapé. Assise sur son plaid dos calé contre l'assise du divan, elle écarte largement les cuisses et commence à se caresser en imaginant le voisin au chien en train de la mater derrière sa vitre.

L'excitation double de s'exhiber si près de ses parents qui peuvent la griller à n'importe quel moment commence à faire monter une douce pression chaude dans son ventre tendu. La vulve de la gamine commence à fondre sous ses doigts habiles, ses jus brillent sur les doigts fins dans le noir, elle mord ses lèvres en sentant le désir monter dans sa vulve en manque de bite.

Elle masse son clito contre son bassin tendu en petits cercles rapides, et elle fait glisser le bout du gros gland entre ses lèvres luisantes. Le double massage commence à lui faire du bien, la tête du sexe factice écarte petit à petit les chairs de sa chatte humidifiée par les caresses précises du clitoris tendu et gonflé de sang.

La gamine se retrouve seule avec son plaisir et son souffle comblant le silence de la nuit. Ses instincts la poussent à restreindre la montée de son plaisir dans la crainte permanente de se faire surprendre par sa mère ou son beau-père. Quelques instants plus tard, un bruit externe à son plaisir solitaire et exhibitionniste attire son attention rompant sa concentration et la montée de son plaisir naissant.
Le gémissement lointain la déconcentre, mais attise aussi sa curiosité.

Élodie essaye de se concentrer sur son plaisir, mais le gémissement se précise, et se répand dans la pièce sombre :

-"han .... han .... oui .... baise moi mon amour!"

-"t'aimes ma grosse bite, hein ma chérie ?"

"Putain, mais c'est .... maman ?" Intriguée et maintenant complètement déconnectée de son plaisir, la gamine se dirige dans le couloir opposé au sien, gode luisant à la main. Elle approche de la chambre à la porte entre ouverte, et jette un œil curieux et intrigué à la chambre de ses parents. Quel spectacle, le quadra et en train de baiser sa mère comme un animal :

-Elle t'excite hein? .... HAN HAN HAN .... HUN .... ma petite pute de fille?

-Elle te vaut pas ma belle HAN HAN HAN .... Prends ça ma chérie !

Sa mère et debout, les mains écartés sur son pied de lit, et son cul tendu vers son mari qui la tient fermement à la taille pour "l’enculer ?????" La gamine est choquée de voir et d'entendre sa mère gémir de plaisir à se faire sodomiser par le gros calibre de son mari.

Il ne faut pas longtemps pour réveiller l'excitation de la gamine qui s'accroupit devant l'entrebâillement de la chambre et écarte les cuisses pour se caresser la chatte du plat de ses quatre doigts. Les *FOUIC* *FOUIC* de sa chatte humide font vite échos aux gémissements et aux râles du couple qui s'éclate dans l'intimité de sa chambre.

Privée de bite toute la journée, Élodie fait glisser le gros gode entre ses doigts et l'ancre sur le parquet du couloir avant d'aligner le gland en silicone avec sa vulve ouverte. Toujours accroupie comme une bête aux aguets, la gamine s'empale sur le gourdin veiné et ne peut retenir un petit gémissement qu'elle étouffe de sa main libre :

-Hunphhh ....

Mais le couple, tout à son acte, ne note pas le petit cri étouffé et continue son accouplement bestial. Il en faut guère plus à la gamine pour sentir le plaisir monter dans son ventre.
Dans l'angle de vue de la jeune fille, elle ne voit pas vraiment la bite de son beau-père mais elle a un bon aperçu de sa largeur, et l'ampleur des coups de rein laisse présager une belle longueur aussi.

Élodie imagine le quadra lui démonter la chatte, alors qu'elle s'empale avec gourmandise sur le gros gode ventouse. Le plaisir monte dans le ventre de la jeune fille qui sent déjà les picotements se propager sur les contours de ses lèvres vaginales. Accroupie dans le couloir, les bruits de mouille de la chatte gourmande de la gamine se mêlent aux gémissements de sa mère en train de se faire démonter le cul par son mari.

La petite brune se mord les lèvres et tire violemment sur ses tétons pour faire monter le plaisir qui gonfle en elle. Élodie se plante en force sur la bite en vinyle, tapant le fond de sa chatte :

-HUMPH .... Elle laisse échapper une cri étouffé !

*CRRRR*

-Qu'est-ce .... ?

Le craquement du parquet interrompt la sodomie maritale. Tout se précipite, Élodie a juste le temps de voir Serge se retourner vers le couloir, elle n'a même pas le réflexe de mater sa grosse queue couverte des jus de sa mère, elle se déconnecte de son gode, et, e le palpitant sur le point d'exploser dans ses tempes, la gamine arrache le gode ventouse et se précipite dans le salon en faisant le moins de bruit possible. Elle att son plaid au vol et se court se réfugier dans sa chambre, à bout de souffle, stressée, elle s'effondre assise sur le sol, dos à la porte.

Élodie a l'impression que tout l'appart' peut entendre les battements de son cœur tellement ils résonnent forts dans sa tête et dans sa poitrine. L'appartement est soudain habité d'une vie propre, les craquements du parquet sous les pas de Serge qui approche de sa chambre l'effraient autant qu'ils l'excitent. Dans un coin de son cerveau noyé d'endorphines, elle l'imagine entrer dans sa chambre, il la retourne sur son lit et la monte sans ménagement. Mais les pas s'arrêtent puis s'éloignent, et la gamine reprend ses esprits. Elle finit par aller se coucher, une impression de vide dans son ventre.

Son sommeil est peuplé de rêves érotiques et elle est couverte de sueur lorsqu'elle se réveille dans l'appartement vide. L'esprit embrumé, elle réalise que ce sont les *PING* incessant de son snap qui l'ont tirée de son sommeil. Élodie se prépare aux nouveaux ordres de son maître chanteur, mais réalise qu'en fait les snaps proviennent de Quentin, Mathieu et Enzo. "Mais qu'est-ce que .... ?"

Les messages sont en réalité une succession de vidéos prises par les trois compères sous différents angles et à différentes heures. Il semblerait que ses trois potes auraient retrouvé l'autre salope de Béa à leur repère la veille au soir. Enzo serait apparemment arrivé de bonne heure avec la pétasse. C'est ensuite que Mathieu et Quentin auraient dégainé leur phone pour surprendre la blondasse en train de sucer la queue d'Enzo sur le matelas défoncé qui fait office "canapé" du repère.

Quentin fait ensuite une vidéo à l'attention d'Élodie sur laquelle il lui dit "qu'elle loupe un grand moment" En effet, il fait un traveling entrant dans la pièce et "surprend" Mathieu en train de baiser la blonde en levrette pendant que celle-ci gode la grosse bite du portugais. Vient ensuite un cliché de Mathieu avec sa bite encrée au fond de la gorge de Béa, qui a la tête dans le vide tout en se faisant sauter en missionnaire.

Élodie est complètement dégoûtée de voir ses mecs se vanter auprès d'elle de leurs exploits avec l'autre salope, alors qu'elle même reste cloitrée et punie dans sa chambre. L'adolescente ne peut pourtant pas nier qu'elle est bien chauffée par les clichés et les mini vidéos, et, encore chauffée par ses rêves érotiques et par esprit de vengeance, elle commence à se filmer elle-même en train de se doigter et de se masser le clito :

-Ça c'est pour avoir osé baiser sans moi ! Leur dit-elle en commentaire.

Elle poursuit la démonstration en snapant des photos de ses godes secs, puis des vidéos d'elle en train de les lubrifier entre ses grosses lèvres pulpeuse de gamine en chaleur. Elle les avale un à un en douceur et en les suçant bruyamment pour les lubrifier correctement. Elle joue avec le gros gode qui est encore couvert des traces de sa petite séance de voyeurisme de la veille. Elle le lèche, l’aspire, gobe le gland au goût acidulé de ses jus.

Lui reviennent en mémoire les images de sa mère en train de gémir sous les coups de queue de son mari râlant de plaisir à chaque pénétration de sa queue dans les boyaux serrés de sa femme. Sa propre mère qui la traite de salope allumeuse pendant que son homme lui défonce la pastille. D’une certaine manière, l’idée que son beau-père décharge ses frustrations sexuelles dans les entrailles de sa mère lui provoque un nouveau genre de plaisir pervers.

La gamine aspire bruyamment le gros gland de vinyle imaginant sucer la bite couverte des jus intimes de sa mère, puis elle écarte à deux doigts ses lèvres vaginales gorgées de cyprine qu’elle expose à son objectif installé sur sa table de chevet.

Élodie se met à frotter le gland sombre et fait glisser le profil bosselé du frein entre ses lèvres humides de désir et de plaisir insatisfaits. Massant son clito gorgé de sang avec le bout du gros gode, l’adolescence att son gode à manche et se mets à le sucer goulument en gorge profonde, insistant sur les *GUAH* *GUAH* *GUAH* bruyants dans le but d’allumer les garçons au maximum. Se faisant, elle provoque de nouvelles vagues de plaisir en elle. La gamine vit pleinement le plaisir qu’elle se donne en se masturbant la chatte et le clito tout en aspirant la deuxième bite à manche.

Toute à son spectacle, la brunette essaye de contenir son plaisir afin de le faire enfler dans le creux son ventre. C’est tout en retenue, en se mordant les lèvres, qu’elle reprend la caresse de son clito gonflé. Elle délaisse la grosse queue pour faire glisser son gode à manche sur sa petite chatte ouverte et toute humide.

-Haaaaannnnnn ….

Elle gémit d’une longue plainte non contenue lorsqu’elle sent les grosses veines masser l’intérieur de ses chairs bouillonnantes. Ses doigts à plat s’active sur son clitoris humide alors qu’elle fait glisser le gode entre ses lèvres vaginales de plus en plus vite. Ses halètements s’accélèrent en même temps que le bruit de ses chairs humides. Elle n’en peut plus, il lui faut de la bite ; elle aligne le gode avec sa chatte étroite et la plante en elle d’un seul coup brutal.

-Han oui !!!! Putain ….

Elle se cambre sur son lit lorsque le gland de vinyle s’écrase au fond de sa vulve gonflée. La pression qu’elle contient depuis le début de sa séance se relâche tout d’un coup en une vague de plaisir qui envahit subitement son ventre avide de jouissance.

Élodie pistonne sa chatte tout en masturbant activement son clito débordant de plaisir. La garde du gode claque contre son pubis détrempé et éclabousse son pubis et l’intérieur de ses cuisses de traces de cyprine. La petite sent la jouissance gonfler dans son ventre, un nouveau feu d’artifice est en train d’enfler dans son être, elle tend le ventre en avant par anticipation pour une nouvelle explosion de plaisir.

Les yeux mi-clos et pétillant d’envie, l’adolescente fixe l’objectif de son smartphone de son regard gourmand et in, imaginant ses hommes se branler devant ce spectacle.

-Han han han …. oui putain …. regardez-moi me branler pour vous bande de salops!

Elle n’y tient plus et accélère le pistonnage de sa chatte débordante de ses jus, et se cambre à nouveau en pressant les caresses circulaire de son bouton :

-Hun hun hun ….

Le feu en elle augmente et gonfle pour se propager dans sa vulve gourmande, elle approche de la jouissance …. elle y est presque …. son dos s'arque boute en arrière, son ventre se tend, le plaisir monte, gronde en elle ….

*DING DONG*

La sonnette de l’entrée la coupe soudain dans son élan, le feux d’artifice qui était sur le point d’exploser dans son ventre s’éteint instantanément, la privant de sa jouissance, encore une fois. Élodie tente de rallumer l’incendie qu’elle avait si bien entretenu, mais un deuxième coup de sonnette met défectivement fin à sa séance matinale.

L’adolescence édite le clip et le stream à ses potes avec un emoji en forme de doigt d’honneur cachant son intimité luisante ; “Voilà pour vous bande de p’ti cons !” Un troisième coup de sonnette et la gamine passe vite fait son dernier micro-string rose et un haut de pyjama sans manche dont elle ne ferme que les deux boutons du milieu pour contenter son corbeau “au cas où !”

L’adolescente se précipite en dehors de sa chambre, les seins sortant à moitié de son haut et la chatte fendue par le coton déjà humide de son string. C’est donc toute essoufflée, les cheveux ébouriffés et le visage poupon aux joues encore roses de sa masturbation matinale que la gamine ouvre la porte sur le livreur Amazon du quartier : “Ah Franck !”

Le beau gosse était le crush d’Élodie durant toute son année de sixième, mais le beau gosse de trois ou quatre ans son aîné était parti au lycée professionnel l’année suivante, tout ça pour finir livreur et dépenser ses tunes en soirée. Mais l’ado ne se lassait pas des livraisons du beau gosse et c’est l’esprit encore troublé de sa jouissance interdite qu’elle l’accueille, appuyée au montant de la porte, le regard candide et un doigt tortillant une de ses anglaises.

Le grand brun ne peut retenir un hoquet de surprise lorsqu’il voit la porte s’ouvrir sur les formes généreuses de la gamine. Il ne remarque même pas la tâche à la pointe du triangle de coton, tant son regard reste bloqué sur le décolleté d’Élodie. Sans vraiment détourné le regard des globes généreux et à peine cachés par les pans tendus du haut de pyjama, il baragouine en matant les tétons déformer le tissu tendu :

-Deux colis pour aujourd’hui ! Mais il y a une condition pour la livraison, tu dois t’assurer qu’elle est complète devant le livreur !

-Ah oui ? La petite le tease avec gourmandise, tortillant son petit pied fin dans l’encadrement de la porte ; ça veut dire que je dois te faire entrer chez moi ça?

Mais son sourire gourmand s’éteint lorsque le livreur répond connement :

-Oui …. ou tu déballes sur le palier c’est comme tu préfères …. euh ….

La gamine est encore plus piquée au vif, lorsqu’il ne se souvient apparemment plus de son prénom ;

-.... Élodie ?

“Ouf c’est au moins ça !” C’est donc à moitié satisfaite que la gamine invite le beau brun ténébreux dans son salon. Il dépose les deux colis sur la table basse et la gamine ouvre la plus petite pour commencer. Elle en sort une magnifique paire de Louboutin noire, à la semelle rouge/bordeaux, et aux talons aiguilles vertigineux d’au moins 18cm et une plateforme de 4 ou 5cm.

Elle sort ensuite trois robes magnifiques mais pas très pratiques à porter quotidiennement ; la première est une petite robe noire à manches longues en dentelles et décolleté plongeant à peine au-dessus du nombril, “Mes seins vont s’faire la malle au moindre faux pas avec ça!” La gamine en oublie presque la présence du livreur derrière elle, en train de reluquer le galbe de ses seins et les pointes saillantes de ses tétons par-dessus son épaule.

La deuxième est une petite robe blanche en licol, tenue derrière la nuque par deux ficelles à nouer, dont le décolleté drapé à l’air de largement bailler. Enfin, pour le clou du spectacle, une micro-robe blanche réduite à sa plus simple expression, un simple tube droit en stretch très doux au toucher mais qui a l’air très très courte !

Réalisant que les colis ne peuvent provenir que de son corbeau, la petite brune est prise d’un léger hoquet mêlant excitation et peur de ce que ce salop va pouvoir lui demander. Sa respiration se faisant plus chaotique, sa poitrine se contracte et se détend sous le coton tendu de son petit haut décolleté. Franck fait un mouvement derrière elle et la ramène sans le vouloir en contact avec la réalité : elle doit encore ouvrir le deuxième colis !

Légèrement fébrile, et n’osant même pas croiser le regard du grand brun taillé comme un dieu grec, Élodie tire la languette du deuxième colis. Elle a l’impression que son cœur va défaillir lorsqu’elle découvre le contenu en même temps que Franck, qui ne peut retenir un sourire lubrique. Les mains moites, et ne pouvant contenir une excitation grandissante à être exposée à vif devant son crush de collège, Élodie déballe une première boîte contenant une wand Hitachi avec sa grosse tête vibrante. Deux boîtes plus petites l’accompagnent, une première tête papillon et une deuxième plus longue et équipée de deux stimulateur, un pour le clito et l’autre plus intime pour le point G. En dessous de la boîte de la wand, elle sort un nouveau gode noir luisant à la forme bizarre de 5 protubérances de tailles différentes de 3 cm de diamètre pour la plus petite à un bon 8 cm pour la plus grosse, et pour l’accompagner, un chapelet anal rose.

Mais sa honte ne s’arrête pas là, celui qu’elle soupçonne être son maître chanteur a ajouté de nouveaux jouets à sa collection grandissante. C’est ainsi que la gamine, de plus en plus fébrile à exposer ces toys à son crush, déballe un ras le cou en dentelle très fine, un fin collier en cuir noir équipé d’une chaînette à mousqueton terminé d’une lanière elle-même terminée par deux boules en acier inoxydable de 3 et 5 cm reliées par une cordelette de nylon. Le salop a aussi ajouté une paire de pinces à sein et leur masselotte de lestage, les pinces sont reliées par une chaînette de 50 cm à un collier cylindrique en acier d’où pend une troisième pince attachée à une chaînette plus longue d’un mètre.

Élodie déballe ensuite une collection de trois plugs anal de tailles différentes, accompagnés d’une paire de boules de geisha classiques en acier inoxydable et le clou du spectacle finit de terrasser la gamine moralement. Elle déballe une barre de métal réglable en longueur et équipée de quatre arceaux d’acier pour y emprisonner simultanément les chevilles et les poignets. Lorsqu’elle finit de sortir les couches de papier craft qui maintenaient l’ensemble en place, le livreur s’empresse de mettre la main au fond du carton pour en sortir deux derniers objets ; un toron de cordon en chanvre blanc et doux comme du coton, et un gros martinet au manche phallique énorme, et tressé d’une pelote de lanière en cuir plutôt fines et douces au toucher.

-Eh ben ma salope ! C’est que tu paraît pas si chienne sous tes airs de sainte ni touche ?

Élodie rougit comme une pivoine, elle ne sait plus où se foutre et tente une manœuvre d’esquive, vu qu’il n’y a pas de destinataire désigné sur le bordereau de livraison ;

-Mais nan ! T’es débile ou quoi ? Qu’est-ce que j’ferais de tout ça ?

-OK ! Alors si t’es pas la destinataire, je vais aller voir ta mère pour qu’elle vérifie le contenu des boîtes, et qu’elle signe mon bon de livraison, c’est ça ?

“Merde !” La gamine avait oublié que sous ses airs de feignasse Franck avait une vraie intelligence !

-Bon OK …. Ça va ! File-moi ton putain de bon et qu’on en finisse, c’est bon tu m’as grillée ? J’suis qu’une petite salope qui commande des sex toys sur internet ! YEAH ….

-TSK TSK TSK! Pas si vite p’tite salope, tu vas m’filer ton snap et ton insta, et me laisser prendre une photo avant que j’parte !

-Nan putain tu fais chier !

Elle voudrait lui dire que c’en est trop, mais elle a peur de la réaction du maître chanteur s’il l’entend se plaindre. Résignée, elle lui tend son phone avec ses infos de compte pour qu’il l’ajoute à ses listes ;

-Bon allez, prends ta tof’ et laisse-moi tranquille que j’range tout ça avant qu’ma daronne revienne !

-D’abord tu m’parles autrement OK ? Ensuite, dégrafe-moi ton haut que j’mate un peu la marchandise …. c’est ça et fait bien durcir tes tétons p’tite pute!

Ça lui fait très bizarre que même son crush la traite comme une petite traînée, mais ça l’allume aussi un peu. Les picotements de sa vulve reprennent un peu de leur activité lorsqu’il lui demande de s’allonger sur le canapé et d’écarter les cuisses ;

-Vas-y p’tite trainée, écarte un peu ton string …. Eh mais c’est qu’tu mouilles comme une chienne ? Tu kiffes de t’exhiber comme ça devant moi ?

Elle ne peut pas vraiment lui cacher que son ventre commence déjà à la chauffer d’être aussi dévoilée et vulnérable devant ce beau brun ténébreux et taillé à la serpe. Sa vulve dégouline de cyprine, et sa respiration s’accélère lorsqu’il la shoot avec son iPhone.

-Putain, fait chier, j’ai des livraisons toute la journée, mais tu perds rien pour attendre toi !

Il regarde la table basse et att le chapelet anal qu’il lui tend :

-Fourre toi ça dans le cul et branle toi la chatte à deux doigts !

Incapable de se rebeller, la gamine, qui se considérait dotée d’un caractère fort, se soumet aux volontés de Franck et commence à se doigter la chatte tout en se branlant la pastille avec son chapelet. Le grand brun la filme semi allongée sur le canapé, les cuisses écartées et rabattue sur elle, les seins apparent dans l’échancrure de son haut de pyjama, l’entrejambe exposée par le string écarté et ses trous huileux pistonnés dans un doux bruit humide.

-Putain, quand les potes vont voir ça ! S’esclaffe le livreur qui détale avant que l’adolescente ait le temps de répondre.

*VLAM* La lourde porte de l’appartement se referme derrière Franck et la petite reste seule avec un nouveau délice hors de portée. Ses trous sont en feu par le manque de bite et les sollicitations inachevées qu’elle leur fait subir depuis hier. Elle finit par envoyer un message désespéré à ses trois hommes les invitant à venir voir sa nouvelle collection le soir même :

<Si vous venez par le balcon après 22h00 vous pourrez jouer avec moi !>

Et elle leur envoie une photo de ses jouets qu’elle a pris soin de couvrir avec des emoticons de pêche et d’aubergine. Afin de calmer ses ardeurs, une fois seule, Élodie se fout à poil, comme ordonnée par son corbeau et file se prendre une douche après avoir balancé les paquets sur son lit. Pomponnée, épilée de près, le corps couvert de lait hydratant parfumé, et maquillée finement pour faire ressortir son joli regard marron, la jeune fille passe un peu de temps à porter ses cheveux en une double natte indienne serrée très près du crâne et prenant racine sur le haut de ses tempes. Avant de sortir de la salle de bain, elle ne peut résister à l’envie de tester son équilibre sur ses nouvelles loubou.

Étonnamment confortables, Élodie se surprend à très vite trouver son équilibre sur ces échasses. Cela reste un équilibre précaire pour les premier pas, mais elle trouve son rythme et son balancier en entrant dans le salon, qu’elle traverse en tordant ostensiblement du cul ; “Y a pas l’choix, y a que comme ça que j’peux tenir debout !” Ses grosses mamelles libres oscillent élégamment sur sa poitrine et grands cercles envoûtant.

De retour dans sa chambre, elle vérifie machinalement ses réseaux, mais pas de nouvelles de ses garçons, juste les invitations ”es” de Franck qui la narguent. Déçue mais pas étonnée, elle décide de planquer ses nouveaux jouets avec les autres, mais reste intriguée par les équipements BDSM maintenant en sa possession. Elle tourne ensuite son attention vers les nouveaux ensembles, les strings et autre crop tops vont rejoindre la pile normale de ses fringues. Quant aux trois robes, elles l’intriguent, comment va-t’elle pouvoir sortir avec de tels ensembles, et la crainte de se faire punir par son maître chanteur l’empêche d’essayer le moindre vêtement lorsqu’elle est seule.

Le reste de la journée est relativement calme, jusqu’à ce que l’adolescente entende Serge rentrer vers 18h00 pour préparer le repas du soir, comme à son habitude. Lorsqu’il appelle l’adolescente pour qu’elle vienne l’aider, un nouveau *PING* attire son attention vers son smartphone, avec pour seul message :

<Robe tube blanche, et loubous>

“Il va me ce con !” Se dit la gamine qui réalise aussi que même s’il ne lui a rien ordonner depuis deux jours, le salop est toujours en train de l’observer. Une autre conclusion se forme dans l’esprit de l’adolescente qui enfile et étire le stretch blanc sur son corps au formes généreuses et sensuelles ; il la prive intentionnellement de queues ! Quoiqu’il en soit, la gamine, obéissante, passe ses nouvelles loubous au pied puis s'observe dans le miroir plein pied de la porte de sa chambre.

La base du tube frôle dangereusement le trait culier de la base de ses fesses, et les aréoles rose sombre chevauchées de ses tétons outrageusement durcis apparaissent en quasi-transparence à travers le fin tissu étendu au maximum sur sa poitrine. Pour couronner le tout, elle a à peine fait deux pas vers sa porte, que le déhanché exagéré de ses hanches perchées sur les stilettos interminables fait déjà remonter la base de sa “robe” sur la rondeur de son fessier. Elle doit tirer deux fois sur la base de sa robe avant d’arriver dans le salon.

Lorsqu’elle entre dans la salle commune, Serge lui tourne le dos, affairé sur le plan de travail à éplucher ses légumes. Sans prendre la peine de se retourner, le quadra demande à sa belle-fille si elle mangera avec eux. Il ne se tourne vers elle que lorsqu’elle lui répond par la négative :

-Très bien, alors met la table et file dans ta ….

Il se retourne pour faire face à la gamine, mais est coupé net avant la fin de sa phrase lorsqu’il l’aperçoit dans le contre-jour, vulgairement sexy, potentiellement dangereuse s’il laissait libre court à ses pulsions :

-.... chambre. HUM !

Lorsqu’elle voit le stress dans la mâchoire du quadra, Élodie sait qu’il se bat contre ses démons pour ne pas la violer sur place. Elle décide de ne pas forcer sa chance et se contente de mettre les deux couverts sans la ramener et file dans sa chambre sans demander son reste. L’adolescente ne peut pas s’empêcher d’imaginer ce que sa mère va devoir encaisser ce soir pour désamorcer la tension sexuelle qui doit monter dans le quadra en rut.

Élodie s’enferme ensuite dans sa chambre, et se contente de se caresser doucement la chatte et les seins devant un Dorcel en attendant 22h00. Mais vers 21h00 elle crève de faim ; “Putain c’est chiant de faire la gueule !” Elle déverrouille doucement sa porte et vérifie que ces parents ne sont pas en train de mater un film dans le salon. Pas un bruit à l’horizon, elle s’aventure nue en direction de la cuisine et att une carotte épluchée dans le bac à légumes. Lorsqu’elle repasse dans le salon, un petit cri aigu attire son attention, et elle ne peut s’empêcher d’aller vérifier la chambre maritale.

“Ils ont encore laissé entrouvert ?” Quel spectacle pour la gamine ! Les poignets de sa mère sont attachés au pied du lit, la contraignant à tendre son cul en arrière. Élodie commence à connaître les délices de cette position et le plaisir qu’elle doit prendre à se faire démonter le cul aussi ouvert pour son homme.

-Tu l’aimes ma bite ma belle ? *CLAC* *CLAC* *CLAC*

Le ventre de Serge claque violemment sur les grosses fesses rembourrées de sa femme !

-Oui c’est bon mon chéri ! Encule moi bien profond ! J’aime ta bonne bite ! HAN HAN HAN ….

Élodie est comme en transe devant le balancier des gros seins détendus de sa mère. Elle regrette de ne pas voir la belle bite qui défonce apparemment bien la pastille ouverte autour d’elle. Instinctivement, dénuée de toute conscience de ses actes, la gamine s’accroupit et glisse deux doigts entre ses lèvres vaginales ouvertes de désir. Elle fait ensuite coulisser la carotte entre ses lèvres charnues, elle est vraiment en manque de bite !

Elle écarte ensuite sa vulve entre son index et son majeur pour y enfourner la tige orange, puis elle pistonne sa chatte en pinça son téton gauche entre pouce et index de sa main droite :

-aaaaah …. Elle soupire doucement en sentant la progression de la carotte qui perfore ses chairs tendre et huileuses de cyprine gluante.

Elle est obligée de se mordre les lèvres pour retenir ses cris de plaisir, mais ce n’est pas suffisant, elle a réussi à déconcentrer son beau-père ! La petite brune aux cheveux tressés déplante la carotte et détale dans sa chambre, non sans manquer de se vautrer devant la chambre de ses parents. Son pied glisse sur la petite flaque de mouille qu’elle laisse derrière elle.

Elle parvient à rejoindre sa chambre avant que Serge ne sorte de la sienne, et se colle dos à son pied de lit observant la lumière du couloir s’allumer dans l’encadrure de sa porte. Élodie se jette sous sa couette lorsque la poignée tourne et elle cale la carotte humide de ses jus sous son ventre tendu. L’adolescente fait semblant de dormir lorsque Serge entre dans la chambre.

Il a apparemment laissé sa femelle attachée au pied du lit, et vient lui-même vérifier le sommeil de sa belle-fille. Il reste immobile, interdit, debout au niveau du visage poupon d’Élodie. La petite n’ose même pas entrouvrir les yeux, mais elle entend la main du quadra glisser sur sa virilité gluante et puante des jus de sa femme.

L’homme parvient encore une fois à lutter contre ses pulsions animales et il ressort de la chambre sans aller plus loin. Lorsque la porte se referme, la gamine se remet à respirer, elle a l’impression d’être passée très très près d’une “bonne correction” !


********************

Ecrit en collaboration avec le génialissime auteur pervers HDS : Silveradd

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!